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Ein Militärmuseum hat nur dann eine Überlebenschance, wenn es ein Ort der Begegnung ist, der das Verständnis für historische Fakten, die Wechselwirkungen zwischen Menschen und Ereignissen sowie die Verbindungen zwischen der Armee und der Zivilgesellschaft fördert und dabei jede chauvinistische oder kriegerische Propaganda vermeidet. In der Schweiz sind das Gelände, die Organisation der Verteidigung, die Kontingente, die Verbindung zwischen Militärdienst und politischen Rechten und die Militärarchitektur historische Daten, ohne die man die Gegenwart nicht verstehen kann. Durch sie werden die Mentalitäten, die Entwicklung der Gemeinschaften, dieser kleinen souveränen Staaten, die sich annähern, ohne sich in der alten Eidgenossenschaft und später im Bundesstaat zu verschmelzen, sichtbar.

Die Generalversammlung der SVMM fand am Samstag, 11. Juni 2022 in Zug in der Altstadt und anschliessend an verschiedenen Schauplätzen des Sonderbundskrieges statt.

General Guillaume Henri Dufour (1797 - 1875) ist eine herausragende Persönlichkeit der Schweiz in der ersten Hälfte des 19. Jahrhunderts. Neben seiner entscheidenden Rolle im Sonderbundskrieg leitete er bemerkenswerte Arbeiten im Bereich der Kartografie und der Festungsbauten, setzte sich für die Ausbildung der Armee ein und war einer der Gründer des Internationalen Komitees vom Roten Kreuz. Er war auch ein fruchtbarer Autor; doch wer hat in letzter Zeit das eine oder andere seiner Werke gelesen?

L'ASHSM applique les conditions de l’Académie suisse des sciences humaines et sociales (ASSH) en matière de libre accès:

Extrait du « Règlement de l’Académie suisse des sciences humaines et sociales (ASSH) concernant l’attribution de subventions aux institutions membres » :


5.1.1.1 Politique de libre accès

L’ASSH s’est engagée à promouvoir le libre accès aux publications scientifiques. L’objectif est de garantir que les revues et les séries qu’elle soutient sont librement et ouvertement accessibles le plus rapidement possible sous une forme numérique appropriée. L’accès libre peut être mis en œuvre en tant que Green ou Gold / Platinum Open Access. Dans le cas du Green Open Access, les auteur·e·s obtiennent le droit de déposer leur article dans une base de données publique (repository) de leur choix. Avec le Gold / Platinum Open Access, le numéro complet d’une revue ou d’une série est librement accessible en ligne en même temps que sa publication, sans délai d’embargo.
Le libre accès est une condition de subvention pour les revues et les séries financées par l’ASSH. Cette condition est considérée comme remplie si les auteur·e·s ont le droit d’archiver leurs articles dans une base de données publique (repository) de leur choix après un délai d’embargo de 12 mois maximum. Dans le cas de séries monographiques, le délai d’embargo peut atteindre 24 mois maximum. L’ASSH examine régulièrement la durée des délais d’embargo et les ajuste si nécessaire. Si des modèles de libre accès plus complets, tels que le Gold ou Platinum Open Access, sont appliqués, la condition de subvention est bien entendu également remplie.
Les autres dispositions d’exécution relatives au libre accès sont exposées dans les « Lignes directrices », au point 4.4.
Extrait des « Lignes directrices de l’Académie suisse des sciences humaines et sociales (ASSH) concernant l’attribution de subventions pour les publications » :

4.4 Exigences en matière de libre accès

4.4.1 Exigence minimale

Pour qu’une revue ou une série puisse être financée par l’ASSH, ses auteur·e·s doivent avoir le droit de déposer leur article dans une base de données de leur choix après un délai de maximum 12 mois. Dans le cas de séries monographiques, le délai d’embargo est de 24 mois au maximum (voir le « Règlement de l’Académie suisse des sciences humaines et sociales (ASSH) concernant l’attribution de subventions aux institutions membres », art. 5.1.1.1). Toutefois, l’ASSH recommande que les délais d’embargo soient complètement levés afin d’accélérer la diffusion des résultats de recherche.
Le traitement du libre accès (« Politique de libre accès ») d’une revue ou d’une série doit être rendu public et transparent à un endroit approprié (impressum, site Internet, etc.).

4.4.2 Autres lignes directrices

Les droits d’utilisation des textes publiés dans les revues et les séries doivent être indiqués à un endroit approprié. L’ASSH recommande l’utilisation des «Creative Commons Licences» (CC-Licences). Les auteur·e·s qui publient dans des revues et des séries subventionnées par l’ASSH doivent pouvoir conserver les droits d’exploitation de leur publication.
Pour permettre des citations fiables, les articles et monographies, et éventuellement aussi les chapitres de livres, doivent être pourvus d’identificateurs permanents. L’ASSH recommande le Digital Object Identifier» (DOI). Pour une identification sans équivoque des auteur·e·s, les identificateurs de l’«Open Researcher Contributor Identification Initiative» (ORCID) doivent être utilisés.
Si un article ou une monographie repose sur des données pertinentes pour la compréhension des textes, celles-ci doivent être déposées dans un lieu approprié et désigné et rendues accessibles au public, pour autant qu’il n’y ait pas d’obstacles liés à la protection des données ou au droit des brevets. Les revues et les séries soutenues par l’ASSH spécifient le dépôt des données dans un lieu approprié («Data Policy»).

Le livre a pour thème les événements dramatiques de 1977–1978, appelés «Deutscher Herbst», qui ont commencé le 5 septembre avec l’enlèvement du patron des patrons allemands, Hanns Martin Schleyer. Aussi l’aspirant Rudolf Flükiger disparaît le 16 septembre 1977 lors d’une course de patrouilles sur la place d’armes de Bure. Il se serait suicidé – c’est la thèse officielle – avec une grenade à main près de Grandvillars en France, à une quinzaine de kilomètre de la place d’armes.
Source: stratos digital

In der "Revue historique des armées (n°294)", die den Verlusten an Menschenleben in Kriegszeiten gewidmet ist, erinnert Prof. Dr. Nicolas Dujin daran, dass "die Verluste ein wesentlicher Gegenstand der Militärgeschichte sind. Sie zu zählen ist eine Notwendigkeit, um das Ausmaß eines Sieges oder einer Niederlage zu bewerten, ihre Ursachen zu ergründen eine Möglichkeit, die Stärken und Schwächen einer Armee zu erkennen".

Militärhistorische Forschung basiert immer noch weitgehend auf schriftlichen Quellen. Es existieren aber auch zahlreiche weitere Quellentypen wie etwa Objekte, Bild- oder Tonquellen. Das von der SVMM am 6. November 2021 in Solothurn im wunderschönen Rahmen des Museums Altes Zeughaus organisierte Kolloquium zielte darauf ab, die Vielfalt der potenziellen Quellen hervorzuheben und die sich daraus ergebenden Chancen aufzuzeigen. Zwölf Rednerinnen und Redner lieferten hochwertige Beiträge und rund 50 Zuhörende zeigten Interesse.

Gelesen in der «Allgemeine Schweizerische Militärzeitung», Nr. 6/7 von Juni/Juli 1950, S.385 ff.

... wo wir die Ansätze einer Reform sehen können, die erst viel später kommen wird!

DAMALS - Gelesen in der « Revue militaire suisse », von Februar 1921, S.65 ff.

.. wo die Lehren aus dem Ersten Weltkrieg nicht besonders zukunftsweisend sind!

Die Internationale Kommission für Militärgeschichte ICMH hat ihren 46. Kongress vom 29. August bis 3. September 2021 in Athen abgehalten. Die Schweiz war durch eine Delegation der SVMM vertreten, da unsere Vereinigung die Nationale Kommission für Militärgeschichte bildet.