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Joseph Jung (Hg.) Einigkeit, Freiheit, Menschlichkeit - Guillaume Henri Dufour als General, Ingenieur, Kartograf und Politiker
Guillaume Henri Dufour (1787–1875) hat die Schweiz versöhnt. Er ist der legendäre Befehlshaber im Bürgerkrieg von 1847. Sein Respekt gegenüber den Truppen des Sonderbunds und der Zivilbevölkerung ist beispielhaft. Auch in späteren Konfliktsituationen mit ausländischen Mächten steht er an der Spitze der Schweizer Armee und sorgt als Integrationsfigur für die Einigkeit des Landes.

Die Geschichtsfreunde vom Linthgebiet sind ein kantonsübergreifender Verein. Die Geschichtsfreunde diskutieren jeweils ein Jahresthema, und zwar auf der Basis von Vorträgen verschiedener Spezialistinnen und Spezialisten und im Rahmen eines Schriftenlesekurs, bei dem auch Archivquellen mit Unterstützung eines Fachmanns gelesen werden. 2023 ist das Thema "Kriege im Linthgebiet". 

Die Internationale Kommission für Militärgeschichte (ICMH) hat ihren 47. Kongress vom 28. August bis 2. September 2022 in Wroclaw (POL) abgehalten. Die Schweiz war durch eine Delegation von 8 Mitgliedern der SVMM vertreten, da unsere Vereinigung zugleich die Nationale Kommission für Militärgeschichte der Schweiz bildet.

Das Generalthema des Kongresses lautete: "Die Grenzverteidigung in der Militärgeschichte". Dieses vor über zwei Jahren gewählte Leitmotiv passte ungewollt sehr gut zur Situation in der Ukraine und den angrenzenden Ländern; angesichts der fehlenden Distanz zu den aktuellen Ereignissen und der unpolitischen Haltung der ICMH wurde dieser spezielle Aspekt jedoch nicht im Plenum diskutiert.

Die Sonderausstellung ist ein gemeinsames Projekt des MAZ mit dem unter der Leitung von Prof. Dr. Regula Schmid Keeling an der Universität Bern stehenden SNF-Projekts "Martial Culture in Medieval Towns". Sie wird kuratiert von Adrian Baschung (MAZ), Daniel Jaquet, Regula Schmid Keeling und Sandra Nicolodi (MAZ).

Anlässlich der Eröffnung des Museumsraumes "Troupes jurassiennes" in Saint-Imier im Jahr 2021 hat der Verlag D+P in Delémont in enger Zusammenarbeit mit den Offiziersgesellschaften des Jura und des Berner Jura eine Histoire militaire du Jura et du Jura bernois lanciert. Unseres Wissens gibt es in der Westschweiz keine kantonale Militärgeschichte von den Anfängen bis zur Gegenwart. Niemand scheint sich in ein solches Abenteuer gestürzt zu haben. Für einmal sind der Kanton Jura und der Berner Jura an der Spitze des Feldes! Ein Buch, das ein breites Publikum ansprechen soll, muss heute reich illustriert und vierfarbig sein und nach Möglichkeit bislang unpublizierte Bilder enthalten.

Ein Militärmuseum hat nur dann eine Überlebenschance, wenn es ein Ort der Begegnung ist, der das Verständnis für historische Fakten, die Wechselwirkungen zwischen Menschen und Ereignissen sowie die Verbindungen zwischen der Armee und der Zivilgesellschaft fördert und dabei jede chauvinistische oder kriegerische Propaganda vermeidet. In der Schweiz sind das Gelände, die Organisation der Verteidigung, die Kontingente, die Verbindung zwischen Militärdienst und politischen Rechten und die Militärarchitektur historische Daten, ohne die man die Gegenwart nicht verstehen kann. Durch sie werden die Mentalitäten, die Entwicklung der Gemeinschaften, dieser kleinen souveränen Staaten, die sich annähern, ohne sich in der alten Eidgenossenschaft und später im Bundesstaat zu verschmelzen, sichtbar.

Die Generalversammlung der SVMM fand am Samstag, 11. Juni 2022 in Zug in der Altstadt und anschliessend an verschiedenen Schauplätzen des Sonderbundskrieges statt.

General Guillaume Henri Dufour (1797 - 1875) ist eine herausragende Persönlichkeit der Schweiz in der ersten Hälfte des 19. Jahrhunderts. Neben seiner entscheidenden Rolle im Sonderbundskrieg leitete er bemerkenswerte Arbeiten im Bereich der Kartografie und der Festungsbauten, setzte sich für die Ausbildung der Armee ein und war einer der Gründer des Internationalen Komitees vom Roten Kreuz. Er war auch ein fruchtbarer Autor; doch wer hat in letzter Zeit das eine oder andere seiner Werke gelesen?

L'ASHSM applique les conditions de l’Académie suisse des sciences humaines et sociales (ASSH) en matière de libre accès:

Extrait du « Règlement de l’Académie suisse des sciences humaines et sociales (ASSH) concernant l’attribution de subventions aux institutions membres » :


5.1.1.1 Politique de libre accès

L’ASSH s’est engagée à promouvoir le libre accès aux publications scientifiques. L’objectif est de garantir que les revues et les séries qu’elle soutient sont librement et ouvertement accessibles le plus rapidement possible sous une forme numérique appropriée. L’accès libre peut être mis en œuvre en tant que Green ou Gold / Platinum Open Access. Dans le cas du Green Open Access, les auteur·e·s obtiennent le droit de déposer leur article dans une base de données publique (repository) de leur choix. Avec le Gold / Platinum Open Access, le numéro complet d’une revue ou d’une série est librement accessible en ligne en même temps que sa publication, sans délai d’embargo.
Le libre accès est une condition de subvention pour les revues et les séries financées par l’ASSH. Cette condition est considérée comme remplie si les auteur·e·s ont le droit d’archiver leurs articles dans une base de données publique (repository) de leur choix après un délai d’embargo de 12 mois maximum. Dans le cas de séries monographiques, le délai d’embargo peut atteindre 24 mois maximum. L’ASSH examine régulièrement la durée des délais d’embargo et les ajuste si nécessaire. Si des modèles de libre accès plus complets, tels que le Gold ou Platinum Open Access, sont appliqués, la condition de subvention est bien entendu également remplie.
Les autres dispositions d’exécution relatives au libre accès sont exposées dans les « Lignes directrices », au point 4.4.
Extrait des « Lignes directrices de l’Académie suisse des sciences humaines et sociales (ASSH) concernant l’attribution de subventions pour les publications » :

4.4 Exigences en matière de libre accès

4.4.1 Exigence minimale

Pour qu’une revue ou une série puisse être financée par l’ASSH, ses auteur·e·s doivent avoir le droit de déposer leur article dans une base de données de leur choix après un délai de maximum 12 mois. Dans le cas de séries monographiques, le délai d’embargo est de 24 mois au maximum (voir le « Règlement de l’Académie suisse des sciences humaines et sociales (ASSH) concernant l’attribution de subventions aux institutions membres », art. 5.1.1.1). Toutefois, l’ASSH recommande que les délais d’embargo soient complètement levés afin d’accélérer la diffusion des résultats de recherche.
Le traitement du libre accès (« Politique de libre accès ») d’une revue ou d’une série doit être rendu public et transparent à un endroit approprié (impressum, site Internet, etc.).

4.4.2 Autres lignes directrices

Les droits d’utilisation des textes publiés dans les revues et les séries doivent être indiqués à un endroit approprié. L’ASSH recommande l’utilisation des «Creative Commons Licences» (CC-Licences). Les auteur·e·s qui publient dans des revues et des séries subventionnées par l’ASSH doivent pouvoir conserver les droits d’exploitation de leur publication.
Pour permettre des citations fiables, les articles et monographies, et éventuellement aussi les chapitres de livres, doivent être pourvus d’identificateurs permanents. L’ASSH recommande le Digital Object Identifier» (DOI). Pour une identification sans équivoque des auteur·e·s, les identificateurs de l’«Open Researcher Contributor Identification Initiative» (ORCID) doivent être utilisés.
Si un article ou une monographie repose sur des données pertinentes pour la compréhension des textes, celles-ci doivent être déposées dans un lieu approprié et désigné et rendues accessibles au public, pour autant qu’il n’y ait pas d’obstacles liés à la protection des données ou au droit des brevets. Les revues et les séries soutenues par l’ASSH spécifient le dépôt des données dans un lieu approprié («Data Policy»).

Le livre a pour thème les événements dramatiques de 1977–1978, appelés «Deutscher Herbst», qui ont commencé le 5 septembre avec l’enlèvement du patron des patrons allemands, Hanns Martin Schleyer. Aussi l’aspirant Rudolf Flükiger disparaît le 16 septembre 1977 lors d’une course de patrouilles sur la place d’armes de Bure. Il se serait suicidé – c’est la thèse officielle – avec une grenade à main près de Grandvillars en France, à une quinzaine de kilomètre de la place d’armes.
Source: stratos digital