Login

Sommaire

  • Histoire-bataille et histoire-campagne
  • Hervé Coutau-Bégarie nous a quittés
  • Le monde réarme, sauf les Européens
  • Le Symposium CHPM-ASHSM 2012
  • L’assemblée générale ASHSM 2012
  • Le XXXVIIIe Colloque CIHM à Sofia

Sommaire

  • L’Assemblée générale 2012
  • Un livre sur L’Escadre de surveillance
  • XXXVIIIe Colloque CIHM à Sofia
  • A propos du maquis des Glières
  • Bataille de Marignan 1515-2015
  • Nécrologies de Fritz Wermelinger et d’Hubert Hilbi

Sommaire

  • Rassemblement de troupes 1886
  • Comment les états-majors se font frictionner
  • L’assemblée générale 2013 de l’ASHSM
  • Le XXXIXe Congrès de la CIHM
  • Activités 2013-2014 de l’ASHSM
  • L’ASHSM a trouvé un éditeur
  • 500e anniversaire de la bataille de Marignan

Sommaire

  • Enseignements du vote du 22 septembre 2013
  • Espionnage entre alliés
  • Premier volume de la série ARES
  • AG 2013 ASHSM
  • Activités 2013-2014

Sommaire

  • Histoire et conflits contemporains
  • Activités récentes
  • Les intentions du comité ASHSM
  • Deux intéressantes « Neujahrsblätter » parues à Zurich
  • Publication : «Place d’armes aux Franches-Montagnes ou à Bure ? Influence sur la Question jurassienne»
  • Les membres de l’ASHSM/li>
  • Trois membres fidèles nous ont quittés

A l’approche de la fin de l’année, vous trouvez ci-joint notre dernière Newsmail pour 2016. Le comité en profite pour vous remercier de votre fidélité à notre association et vous souhaiter de joyeuses Fêtes de Noël ainsi qu’un excellente et bonne année 2017 !

 

Da die Jahresende sich rasch nähert, erhalten Sie somit das letzte Newsmail des Jahres 2016. Der Vorstand möchte damit die Gelegenheit nützen, Ihnen für Ihre Treue zu unserem Verein zu danken und Ihnen frohe Weihnachten und ein gutes Rutsch im Jahre 2017 zu wünschen!

 

 
14 Septembre dès 1400 – Palais de Beaulieu, Lausanne

« CENTI » Programme

Der Erste Weltkrieg wird als Urkatastrophe des 20. Jahrhunderts bezeichnet. In ganz Europa existieren aufgrund der tiefen Zäsur spezifische Erinnerungen an die Kriegsjahre. Diese Erinnerungen formten sich nach Kriegsende zu identitätsstiftenden Erinnerungskulturen auch der neutralen Staaten. Heute stehen die verschiedenen nationalen und regionalen Erzählungen teilweise im Widerspruch zu den Narrativen der europäischen Integration.

Le 29 novembre 1516, le roi de France, François Ier, et les Suisses concluent une « paix perpétuelle », signée à Fribourg. Les guerres d’Italie sont alors terminées pour les Confédérés qui acquièrent de nouveaux territoires et, en dépit de la défaite de Marignan, renforcent leur réputation militaire. Mais ces guerres ont aussi mis en évidence les profondes divisions et rivalités entre cantons, ainsi que des relations très tendues au sein de la Ligue confédérale. On a craint à plusieurs reprises que les Suisses s’entretuent sur les champs de bataille de Lombardie. Le chemin vers la paix de 1516 est long et laborieux. Les cantons occidentaux, parmi lesquels figurent Fribourg, jouent un rôle important dans le succès final des négociations, entamées avant Marignan, et c’est probablement pour cela que Fribourg fut choisie comme lieu pour conclure officiellement la paix. Cet accord, qui doit être davantage considéré comme un « traité de paix et d’amitié » qu’une véritable « alliance », constitue un moment clé de l’histoire des relations des Suisses entre eux-mêmes, avec la France et avec les puissances européennes.

Le 29 novembre 1516, le roi de France, François Ier, et les Suisses concluent une « paix perpétuelle », signée à Fribourg. Les guerres d’Italie sont alors terminées pour les Confédérés qui acquièrent de nouveaux territoires et, en dépit de la défaite de Marignan, renforcent leur réputation militaire. Mais ces guerres ont aussi mis en évidence les profondes divisions et rivalités entre cantons, ainsi que des relations très tendues au sein de la Ligue confédérale. On a craint à plusieurs reprises que les Suisses s’entretuent sur les champs de bataille de Lombardie. Le chemin vers la paix de 1516 est long et laborieux. Les cantons occidentaux, parmi lesquels figurent Fribourg, jouent un rôle important dans le succès final des négociations, entamées avant Marignan, et c’est probablement pour cela que Fribourg fut choisie comme lieu pour conclure officiellement la paix. Cet accord, qui doit être davantage considéré comme un « traité de paix et d’amitié » qu’une véritable « alliance », constitue un moment clé de l’histoire des relations des Suisses entre eux-mêmes, avec la France et avec les puissances européennes.