Bienvenue sur le site de l'Association suisse d'histoire et de sciences militaires (ASHSM), qui agit également comme Commission suisse d'histoire militaire. L'Association suisse d'histoire et de sciences militaires (ASHSM) a été fondée en 1972, peu de temps après le Congrès international des sciences historiques qui s'était tenu à Moscou, où il était apparu que notre pays était l'un des seuls d'Europe occidentale à ne pas regrouper les historiens militaires dans une section spéciale. Le premier président fut le commandant de corps Alfred Ernst. Depuis 2007, la présidence de l'association est assurée par le divisionnaire Dominique Juilland. Ce site présente les activités actuelles et futures de la Commission ainsi que de l'ASHSM.
Ces activités sont résumées dans le dépliant de l'ASHSM !








[Source] Cet ouvrage qui vient de paraître est le fruit d’un colloque organisé en 2018 sur le renseignement dans les pays neutres sous l’égide de l’Association Suisse d’Histoire et de Sciences Militaires. Il aborde une question d’actualité particulièrement sensible, celle des pratiques de l’espionnage dans les pays neutres, et plus particulièrement en Suisse.
Cet ouvrage, issu du colloque de Genève 2018 de l’ASHSM, porte sur plusieurs thématiques méconnues, comme le développement de l’espionnage allemand sur le sol de la Confédération après la première Guerre mondiale, l’existence des services de renseignement polonais en suisse pendant la seconde Guerre mondiale, le fonctionnement des services de renseignement helvétique au cours de ce conflit, ou l’activité des services secrets étrangers en Suisse durant la Guerre froide.
La puissance de feu et la mobilité sont les facteurs les plus importants dans la guerre. Depuis leur invention, les « réservoirs » ont été considérés comme une voie royale pour atteindre cet objectif.
Le Prix Corvisier est attribué annuellement par la Commission internationale d’histoire militaire CIHM – institution dans laquelle l’ASHSM représente la Suisse – dans le but d’encourager les jeunes chercheurs ; il récompense des travaux de thèse de doctorat en matière d’histoire militaire. L’édition 2020 a été d’un excellent niveau. Seize candidats, provenant de sept pays, y ont été présentés. Et c’est notre compatriote et membre de l’ASHSM Dr. Marcel Berni qui a remporté le prix, après un examen approfondi du jury international. Le Comité de l’ASHSM lui adresse ses plus vives félicitations.
En janvier 1916 la presse suisse révèle que les colonels Egli et von Wattenwyl, respectivement sous-chef de l’état-major et chef du service de renseignement de l’armée, ont transmis aux attachés militaires allemand et austro-hongrois le Bulletin journalier d’informations de l’État-major général.
Cette affaire conduira à un procès et agitera l’opinion publique et le monde politique durant plusieurs mois. Le cryptologue lausannois André Langie, déclencheur de l’affaire, avait découvert que certains télégrammes de l’attaché allemand se référaient à l’État-major général comme source de ses informations.
L’auteur poursuit l’étude et la mise en valeur des archives familiales. Il présente dans cet opuscule l’histoire d’un régiment au service de la France. Comme toujours, la lecture en est vivante et intéressante.
Avec cette 41e Newsletter, nous mettons un terme [au] format de publication papier pour nous tourner vers une édition désormais numérique dont la trame évoluant au fil de l’année sera plus dynamique et plus vivante. Une transformation qui respecte les recommandations de l’Académie suisse des sciences humaines et, plus largement, de la Confédération dont la politique en faveur du monde numérique s’affirme de manière volontaire et positive. Que vive donc notre société dont le site Internet constituera en quelque sorte son quartier général de campagne.
Prof. Strachan beleuchtete in seinen Ausführungen Spannungsfelder und Widersprüchlichkeiten der Sicherheitspolitik heutiger westlicher Demokratien und ging dabei gezielt auf das Akteursdreieck "Politik-Militär-Öffentlichkeit" ein
Lea Moliterni Eberle (Vorstand SVMM) freut sich sehr darüber, einen Anlass mit Dr. Bruno Lezzi, SVMM-Mitglied, bekanntzugeben.
General Ulrich Wille in neuem Licht : Lea Moliterni Eberle und Bruno Lezzi - Gespräch und Lesung - Sa, 15. Februar 2020, 17 Uhr
Der städtische Waffenbesitz steht im Zentrum von Regula Schmids Beitrag. Sie betont, dass die Besitzer der Waffen – Männer, Frauen und Kinder – nicht identisch mit den Nutzern waren: Der Einsatz von Waffen war ausschließlich Männern vorbehalten. Der Besitz dieser Objekte im Haushalt verortete den Bürger im rechtlichen, sozialen und politischen Gefüge der Stadt: In den armen Haushalten waren die Waffen häufig unvollständig oder gar unbrauchbar; bei den führenden Familien standen sie hingegen vollständig und gut gepflegt zum Einsatz bereit. Im Kriegsfall wurden diese individuellen Ausrüstungsteile durch Waffen ergänzt, die kommunale Sammlungen zur Verfügung stellten. So zeigt Schmid Waffen als Indikatoren für den Wandel gesellschaftlicher Verhältnisse, die eine männlich dominierte Kriegergesellschaft entstehen lassen. In diesem Beitrag wird deutlich, dass selbst im Militärwesen,zu dem es eine so reiche Überlieferung an Gegenständen gibt, längst nicht alle Objekte überlebt haben, die für die Studie eines bestimmten geograpischen Raumes nötig wären, sondern schlussendlich Texte zentrale Quellen sind, die herangezogen werden müssen.