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Le 29 novembre 2023, sous l’égide conjointe de la MILAK et de l’ASHSM, le Dr. Roman Töppel, historien militaire allemand, a tenu à l’EPF Zürich une intéressante conférence devant une cinquantaine d’auditeurs et au moins autant d’internautes connectés en ligne.

Le 30 novembre 2023, à l’instigation de la Société des officiers de l’Université de Berne, la Prof. Dr. Regula Schmid – notre vice-présidente de l’ASHSM – a eu l’occasion de s’entretenir durant la pause de midi avec une vingtaine d’étudiants et quelques membres de notre association.

Un auteur français s’est intéressé à une phase souvent méconnue de notre histoire militaire.

Durant la Grande Guerre, la Suisse a été une plateforme pour tous les belligérants qui, profitant de sa neutralité et de sa situation géographique, y ont installé des bases pour leur espionnage et contre-espionnage. Les activités des services français, allemands et autrichiens sont bien connues, contrairement à celles de la Russie. Ce pays avait également choisi d'espionner depuis la Suisse, mais le manque d'information a retardé les recherches ce sujet. Cependant, des documents inédits réunis au cours de ces dernières années, provenant des archives russes ont permis de lever le voile sur ces activités.

 La Commission internationale d’histoire militaire CIHM a tenu son 48ème congrès à Istanbul (TUR), du 3 au 8 septembre 2023. La Suisse y était représentée par une (petite) délégation de 4 membres de l’ASHSM et de notre attaché de défense à Ankara, notre association formant la Commission nationale d’histoire militaire.

Nebst unseren Grundtätigkeiten im Bereich der eigenen oder von uns unterstützten militärhistorischen Forschungsarbeiten und Publikationen schlagen wir Ihnen folgende Aktivitäten vor:

Outre nos engagements de base dans les domaines de la recherche et des publications d’histoire militaire, en propre ou en appui, nous vous proposons les activités suivantes :

L’enseignant d’histoire militaire à l’Académie militaire de l’EPFZ et à l’Université de Zürich est décédé le 15 janvier 2023 à Meilen. Par ses cours, ses conférences, ses visites guidées et ses nombreuses publications, il a su toucher un vaste public pour le domaine qui nous intéresse. Il fut durant de nombreuses années membre du comité de notre ASHSM et auteur de plusieurs textes dans nos livres.

Résumé d’un travail de master présenté en 2022 à l’Université de Paris Sorbonne.

Une guerre civile en novembre 1847 a uni la Suisse, même le long des frontières linguistiques. Alémaniques et Romands se sont battus au coude à coude dans les deux camps.

La guerre du Sonderbund, qui a débuté le 3 novembre 1847 et s'est terminée dès le 29 novembre par la victoire des cantons libéraux sur le "Sonderbund" catholique et conservateur, est une page glorieuse de l'histoire suisse : Elle a tout de même fait environ 150 morts et 400 blessés (les chiffres définitifs font l'objet d'un débat). Cela représente un bilan typiquement helvétique ; ce n'est pas pour rien que l'historien américain Joachim Remak a qualifié cette mini-guerre - en référence à la guerre de sécession américaine - de "A Very Civil War", une "guerre civile très civilisée". Mais pour notre pays, vanté comme une démocratie de concordance, il est tout de même un peu gênant de constater que le processus de "nation building" ne s'est pas non plus déroulé sans guerre

Die Geschichtsfreunde vom Linthgebiet sind ein kantonsübergreifender Verein. Die Geschichtsfreunde diskutieren jeweils ein Jahresthema, und zwar auf der Basis von Vorträgen verschiedener Spezialistinnen und Spezialisten und im Rahmen eines Schriftenlesekurs, bei dem auch Archivquellen mit Unterstützung eines Fachmanns gelesen werden. 2023 ist das Thema "Kriege im Linthgebiet".